La saison et le futur du Stade Niçois sont lancés. Sur le plan sportif, l’équipe fanion a trouvé son rythme en enchaîne les bonnes performances. Ça bouge aussi en coulisses.
Le vendredi 31 octobre dernier, arès de cinq moins après la venue de Jacques Richier, PDG d’Allianz France, à Nice, lors d’une première conférence de presse pour évoquer les projets de la société aux côtés du Stade Niçois, le calendrier a été dévoilé. Monsieur Richier, aux côté de Christian Estrosi, mais aussi du Président Toni Catoni, a réaffirmé son soutien financier au club évoluant aujourd’hui en Fédérale 2. Les nombreuses rénovations et constructions aux Arboras coûteront environ 12,5 milions d’euros. Les subventions de la mairie de Nice n’ont aujourd’hui pas d’égales en France pour un club de ce niveau.
En 2015, les pelouses annexes vont disparaître aux Arboras pour laisser la place à des terrains synthétiques. Autre avancée notable, une salle de musculation, entièrement dédiée au haut niveau, sortira de terre. Un élément indispensable pour progresser physiquement car, il est coutume de dire que les deuxièmes et premières division, ambitions à plus long terme du club, propose un autre sport que la Fédérale 2, tant le défi physique est de plus en plus conséquent.
En 2016, la tribune principale du stade sera améliorée et une deuxième sera construite. La pelouse du terrain des matchs officiels sera également changée. Mais ce n’est pas tout, deux nouvelles aires d’entraînements seront mise en place, proche de la Faculté des Sciences du Sport. Enfin, en 2017, au bout du premier partenariat de trois ans d’Allianz, le stade des Arboras verra sa rénovation et sa construction prendre fin, avec une enceinte fermée de 10.000 places. D’ici là, Nice, si tout se passe comme prévu, devrait évoluer en Fédérale 1 ou en Pro D2.
(Crédit photo : Stade Niçois)
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