Pascal Bousquet va en terminer avec un mois de mars qui l’a rassuré sur ses capacités à briller cette saison. Le nouvel élément du Sprint Club de Nice Jollywear se dit satisfait de ses débuts.
Nouveau venu cette saison au Sprinter Club de Nice Jollywear, Pascal Bousquet, avec son expérience, apporte un vrai plus au groupe niçois. A 37 ans, il vit un mois de mars assez chargé. On l’a tout d’abord revu le premier week-end du troisième mois de l’année avec l’enchaînement Seillans / Fayence / Montauroux. « C’était vraiment dur mais j’ai fini en milieu de tableau. » Le Français a en effet repris l’entraînement sérieusement très tard : début février. Puis, il y a une semaine, nous l’avons retrouvé au cœur du peloton sur le Critérium Souvenir Louis-Nucéra à Nice. « Sur cette course j’ai senti que la forme commençait à revenir. J’ai enchainé avec une grosse semaine de travail. »
Ainsi, samedi, il a terminé à une bonne dix-septième place sur le Tour du Canton de Bourg-de-Péage. Une course marquée par des conditions climatiques exécrables, avec une pluie constante. Les deux tiers des engagés ont abandonné. « Quelle journée ! Une vraie course de vélo. Nous étions 170 au départ et seulement 52 à l’arrivée, avec des grosses équipes de DN1 et DN2. Un très joli parcours parsemé de petites côtes. » Bousquet souligne le « gros numéro » de son équipier belge Jeroen Snick dans une échappée à trois pendant de longs kilomètres. « Le peloton a explosé au point de devenir un gros groupe de cinquante gars dans le final. On classe trois coureurs dans le Top 20 avec deux petits jeunes prometteurs que sont Thomas Navarro et Quentin Vanoverschelde. » Pour ce mois de mars, Bousquet dresse un bilan « satisfaisant. Cette dernière course est vraiment un signe d’un retour en condition. Ça fait du bien de redevenir coureur. »
Nouveau venu dans l’équipe niçoise cette année, et absent des premières courses que sont le Grand Prix de Carcès et les Boucles du Haut-Var, l’ancien pensionnaire du VS Hyérois avait besoin de se retrouver avec ses nouveaux équipiers : « J’ai découvert certains garçons que je ne connaissais pas. Les huit heures de voitures sont passées toutes seules à bavarder : super ambiance ça fait plaisir. »
(Crédit photo : Cynthia Amato)
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