Une partie de la DN3 du Sprinter Club de Nice Jollywear était en Saône-et-Loire et dans l’Ain ce week-end pour deux courses toutes catégories. Christophe Rosé dresse le bilan du comportement des Niçois.
Quatre coureurs du Sprinter Club de Nice Jollywear ont parcouru ce week-end plusieurs centaines de kilomètres pour disputer deux épreuves toutes catégories. La première, le samedi, en Sône-et-Loire avec le Prix de Varennes-Saint-Sauveur. Le lendemain, direction l’Ain et le Prix de Pont-de-Vaux.
« Du cyclisme à l’ancienne », explique pour www.magsport06.fr l’un des Capitaines de route de la DN3 niçoise, Christophe Rosé. « Une fois n’est pas coutume nous sommes montés à quatre coureurs et un directeur sportif, Thomas Marchetti. Le deux courses avaient un très bon niveau avec la présence du Centre Mondial du Cyclisme et plusieurs DN1 et DN2 au départ. Des courses très nerveuses et roulantes en circuit de dix kilomètres pour la première et sept kilomètres pour la seconde. Le placement avec 190 coureurs le samedi et 150 dimanche, sur des petites routes, était capital », détaille Rosé.
Le samedi, sur 127 kilomètres, c’est le Suédois Marcus Johansson qui va le plus s’illustrer. « Il y avait beaucoup de vent. Marcus a participé à une échappée avant de payer un peu ses efforts sur la fin (25e). Pascal Bousquet (30e), moi-même (74e) et Yolan Sylvestre (76e) finissons dans ce qui reste des différents pelotons. » Le lendemain, sur 125 kilomètres, le plus jeune de la bande, Sylvestre, va réaliser une très belle course nous explique Rosé. « Yolan participe à l’échappée de onze coureurs du jour avant d’avoir des crampes dans les trois derniers kilomètres. Très belle course de sa part. Marcus, Pascal et moi avons travaillé derrière pour le protéger. » Au final, c’est à nouveau le géant suédois qui termine le mieux placé, à la 36e place, Bousquet est 55e, Sylvestre 58e et Rosé 62e.
« C’est un week-end profitable pour la suite de la saison, notamment pour le Tour de Corse et le championnat de France Master qui est l’un de mes objectifs personnels », conclu Rosé.
(Crédit photo : Cynthia Amato)
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